Le 30 octobre 2003. L'article "Eliminer radicalement la diaphonie dans les interconnexions" de Frédéric Broydé a été publié par la revue Electronique, dans son numéro 140, d'octobre 2003, aux pages 57 à 61. Cet article rappelle les principales techniques connues de réduction de la diaphonie et présente la nouvelle technique ZXtalk (voir nouvelle du 18 avril 2003). Il peut être consulté dans la rubrique correspondante du Club Excem
Le 13 mai 2003. Excem participe au jury de la 7ème édition du concours "Electron d'or" du magazine Electronique. Voir en page 37 du numéro 137 de juin 2003 de ce magazine.
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Le 18 avril 2003. La nouvelle technologie ZXtalk permet d'obtenir des transmissions sans diaphonie. Elle est applicable aux transmissions dans les milieux tels que les câbles (par exemple les câbles de réseaux locaux), les pistes de circuits imprimés, et les interconnexions internes des circuits intégrés. La vue de droite montre les prototypes qui ont permis de valider ZXtalk. Nous commençons à diffuser des documents exposant les inventions à la base de ZXtalk. |
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ZXtalk permet d’augmenter la densité des interconnexions et d’en étendre la bande passante. Son domaine d’application est donc très large et elle autorise des réductions de coût significatives dans les systèmes électroniques. Trois demandes de brevet d'invention (portant les références Excem P26, P27 et P28) ont été déposées. Excem met en place un programme de concession de license d'exploitation et/ou de cession des droits. Les entreprises intéressées peuvent nous contacter. ZXtalk est une marque déposée du Groupe Excem. Des informations techniques sont disponibles à la rubrique "broadband over copper" du site eurexcem.com.
Le 20 mars 2003. Un article de presse dû à Excem est passé dans le "forum des lecteurs" du journal Les Echos en date du jeudi 20 mars 2003, sur le financement de l'innovation. Il commente l'objectif européen, repris par le gouvernement français, de porter l'effort national de recherche à 3 % du PIB à l'horizon 2010 contre 2,2 % actuellement. Voici le texte de cet article.
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Il n'est plus question que de financement de l'innovation (voir par exemple Les Echos du 3 mars 2003, p. 21; Les Echos.net du 3 mars; p. 1, Les Echos du 13 mars, p. 52). En général, les articles de presse abordent ce sujet en déplorant que les dépenses de R&D en France, rapportées au PIB, sont plus faibles que dans les pays comparables. J'aimerais souligner que cette approche est absurde. Premièrement, il n'y a aucune raison de rapporter ces dépenses au PIB. Deuxièmement, il n'y a aucune raison de penser qu'une dépense est bonne en soit, fût-elle de recherche. Au contraire, pour une entreprise comme pour la nation, l'objectif doit être de minimiser les dépenses, et de maximiser les résultats. Les indicateurs valables sur les résultats de la R&D sont connus: nombre de publications dans les revues de référence, nombre de citations des articles publiés, nombre de brevets déposés, montant des royalties obtenues sur les concessions de brevets, montant des cessions de brevet, montant des ventes de produits utilisant une invention ou un savoir-faire breveté ou non, etc. Le constat de la faiblesse des dépenses de recherche sert évidemment l'intérêt de ceux qui veulent les augmenter, et qui seraient peut-être gênés que soit affiché le montant des dépenses actuelles rapporté aux résultats obtenus. L'activité de recherche industrielle doit être une activité profitable, il convient donc de se demander combien elle rapporte, et non ce qu'elle coûte. De grandes entreprises gèrent leur R&D comme un centre de profit (voir l'article d'Enjeux mars 2003, p.76, sur "Thomson, la rentière de la high-tech"), de petites entreprises aussi. Par exemple, la petite société d'ingénierie dont j'ai la charge gagne de l'argent avec sa R&D. Les bonnes formules de soutien de la recherche seront donc celles qui mettront l'accent sur les résultats. A l'opposé, un dossier de demande d'aide publique pour un projet d'innovation encourage le porteur de projet à exposer des frais externes élevés, pour obtenir une subvention importante. Frédéric BroydéChef d'une entreprise (et inventeur) |
Vous pouvez aussi visualiser l'extrait des Echos au format .pdf (81 ko) (y compris les modifications et coquilles de la rédaction).
Le 2 janvier 2003. Bonne année à tous. Cette année 2003, Excem, qui a été fondée en mai 1988 fêtera son quinzième anniversaire. C'est aussi le dixième anniversaire d'Eurexcem, société créée en mai 1993. Enfin nous célèbrerons, si notre foie suit, le cinquième anniversaire de nos sites Internet, le principal étant le site excem.fr. Une partie du succès de nos sites vient de ce qu'ils mettent en ligne plusieurs de nos articles techniques (à ce jour 22 fichiers .pdf, soit 136 pages de saine lecture).
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